Pour plusieurs d'entre vous, l'hiver et l'automne sont souvent considérées comme une période triste. Psychologique, pensez-vous? ... Pas du tout !
Il a été prouvé scientifiquement et médicalement que la baisse de l'intensité lumineuse de 100 000 lux (plein été) à 800 lux (ciel couvert) pouvait engendrer un trouble affectif saisonnier (TAS). (Le Lux représentant l'unité d'éclairement.)
Or, ce manque de soleil incite notre organisme à sécréter une hormone appelée mélatonine. « La mélatonine est habituellement fabriquée la nuit, elle agit comme un somnifère et donne envie de dormir même dans la journée ».
Mais ce n'est pas tout. D'autres conséquences apparaissent avec par exemple : état dépressif, fatigue, besoin de s'isoler socialement, baisse de motivation, réveils difficiles, troubles du sommeil…
Bref...si vous avez envie « d’hiberner » lorsque la lumière se fait rare, eh bien, dites-vous que vous n’êtes pas seul car 10% à 15 % des Français (Source IFOP) connaissent ces troubles et pour 2 ou 3 % de la population, les symptômes sont plus sévères au point de devenir incapacitants.
Il faut savoir également que la seule cure non-médicamenteuse reconnue par la médecine est la luminothérapie.
• La déprime saisonnière
• Les troubles du sommeil
• Les reveils difficiles
• Les troubles de la libido
• Le blues de l'hiver
• Le stress
• Le baby blues
• La fatigue
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